It's Okay, That's Love


Synopsis : Jung Jae-Yeol (Zo In-Sung) est animateur radio et auteur de romans policiers à succès. Jovial ; sûr de lui ; un peu arrogant ; très à l'aise avec les femmes, il souffre pourtant de troubles obsessionnels compulsifs liés à de graves traumatismes subis dans son enfance.

Ji Hye-Soo (Gong Hyo Jin) passe sa première année d'interne en psychiatrie dans un Hôpital Universitaire. Si elle a choisi cette spécialisation, c'est pour parvenir à cerner l'âme et l'esprit humain, mais aussi parce qu'elle a vécu étant adolescente un traumatisme qu'elle ne peut effacer de sa mémoire... Traumatisme qui l'a toujours freinée et bloquée dans ses relations avec les hommes. Malgré sa froideur apparente, elle est compatissante envers ses patients. 

C'est à l'occasion d'un débat télévisé que ces deux êtres cabossés par la vie vont faire connaissance. Une première rencontre quelque peu explosive qui ne les laissera pas indifférents.

Mais, Jung Jae et Ji Hye parviendront-ils, ensemble, à panser leur blessures respectives et a, enfin, affronter la vie sans aucun a priori ?


"C'est un mannequin ou un écrivain ?

Il est vraiment canon.

Il a l'air de le savoir."

-Hae Soo-

"Quoi ?

Il va reporter la sortie de son livre que j'attends depuis des mois ?

Il se fiche vraiment de ses lecteurs."

-Hae Soo- 

"La mort est plus douce que le divorce."

-Jo Dong Min-

"J'étais impatient d'un débat enflammé, mais vous êtes assez mignonne. Vous pourriez me distraire."

-Jae Yeol-

"Que je sois un tel gentleman... Toutes les femmes de ce monde devraient le savoir. Mais...

Aucune femme ne se rend compte que je suis un gentleman."

-Jae Yeol-

"En vous voyant sous le soleil, vous semblez assez mignonne."

-Jae Yeol-

 

"On devrait se revoir au moins une fois avant de mourir.

En attendant, sois heureuse."

-Jae Yeol-

 

"Il faut bien se faire des confidences sur l'oreiller.

Pas étonnant que tu sois encore célibataire."

-Jae Yeol-

 

"Qui étais-tu pour moi ?

Qu'étais-je pour toi ?

Je n'ai jamais réussi à comprendre mais tu as la réponse.

Des partenaires sexuels.

Mais même en tant que partenaires, il y a des limites à ne pas franchir, non ?

Tu n'aurais pas dû t'amuser avec mon ami d'enfance."

-Jae Yeol-

 

"J'utilise mes propres règles puisqu'il n'y en a aucune dans cette maison.

Je donne autant que je reçois. Si l'autre rit, alors je ris aussi. Si on m'insulte, je les insulte.

Si vous venez dans ma chambre à l'improviste, j'irai dans votre chambre à l'improviste."

-Jae Yeol-

 

"Je vous l'ai sûrement dit. Je rends exactement ce que je reçois. Si vous m'embêtez, je vous embêterai."

-Jae Yeol-

"Je suis docteur et ce sont les résultats d'un traitement par moi-même.

Je pense aux centaines de simulations dans ma tête où je pensais à l'amour.

Pour les baisers, je pense que l'amour entre un homme et une femme n'est pas une mauvaise chose.

C'est une belle chose. De cette façon, je contrôle mon esprit.

Si je trouve quelqu'un que j'aime vraiment, qui sait, j'aurai sûrement un amour incroyable."

-Hae Soo-

"C'est logique ?

Elle m'insulte car je veux le faire dans la voiture ?
Je ne comprends pas pourquoi le lieu pose toujours problème avec les femmes.
La boîte, la plage, ...
On peut partager son amour n'importe où.

Pourquoi je me fais traiter de pervers ?"

-Park Su Gwang-

 

"Ce n'est pas une question de lieu ou d'outils.

L'important, c'est que sa partenaire ait consenti à ce genre d'activité.

"Je peux utiliser les menottes ?" "Et la ceinture ?"

Il doit lui demander.

Si sa partenaire refuse, qu'il laisse tomber.

S'il les utilise sans son consentement, il devient un pervers."

-Jae Yeol-

"La prochaine fois que tu aimes, essaie de le sentir.

Sans plan ou t'assurer."

-Jae Yeol-

"Il n'y a rien de plus déchirant que de redevenir des étrangers après s'être aimés passionnément.

Quand on sent que l'autre veut partir, on amorce la rupture pour éviter toute discussion pénible.

On se dit juste qu'on aura droit à une autre romance.

Même si on l'aimait vraiment.

La sincérité de notre amour est souvent remise en cause en raison de nos conquêtes passées.

Mais pour moi, chaque amour est un premier amour.

C'est un message pour un cœur brisé.

Je veux lui dire..."

-Jae Yeol-

"Hae Soo : Tu es aussi du genre à croire que l'amour surmonte tout ?

Cet amour te donnera toujours de la joie, du bonheur, des palpitations et du courage ?

 

Jae Yeol : Il donnera aussi de la douleur, de la rancune, de la souffrance, de la tristesse, du désespoir et

de la misère. Il donne aussi de la force pour les surmonter. Ça doit être au moins ça l'amour."

"J'ai un trouble de conduites.
Être une peste est aussi une maladie."

  -Oh So Nyeo-

"Jae Yeol : Elle est à moitié nue.

Devant trois hommes en plus.

 

Jo Dong Min : Elle ne me voit pas comme un homme ni comme un humain.

 

Park Su Gwang : Moi, je ne suis personne.

 

Jo Dong Min : Mais toi pourquoi elle te traite ainsi ?

 

Jae Yeol : Aucune idée."

"Ceux qui ont un cancer, des prothèses ou sont aveugles sont pris en pitié mais, ceux qui ont une maladie mentale sont mis en ban de la société.

On les considère comme des monstres.

Tout le monde peut tomber en dépression après une expérience traumatisante.

Mais on croit que ça n'arrive qu'aux autres."

-Jo Dong Min-

"Park Su Gwang : C'est dur de sortir avec elle, hein ?

Je ne lui dirai rien.

 

Jae Yeol : Rien à personne ?

Oui, c'est dur."

"Moi qui ai le trouble obsessionnel compulsif, parce que je t'ai désirée, je ne nettoie pas les traces de tes visites et je les laisse juste ici.

J'espère que toutes ces traces deviendront notre vie quotidienne, même si nous ne nous marions pas.

Je t'aime, Ji Hae Soo."

-Jae Yeol-

"Je t'ai déjà mise dans l'emploi du temps de ma vie."

-Jae Yeol-

 

"L'amour... n'est pas de sacrifier quelque chose pour l'autre. C'est d'accomplir quelque chose."

-Jae Yeol-

"Voilà comment les gens ignorants conçoivent ma maladie.

Et comment ils considèrent la schizophrénie de Hae Jin.

Pour eux, notre tête est un vrai foutoir.

Ils nous croient incapable de reconnaître nos parents, nos frères et nos sœurs, ou notre être aimé.

Ils s’imaginent qu’après une crise, on ne ressent aucune culpabilité.

 

Mais la réalité est différente.

Nous sommes presque normaux.

Seul une partie de nous est malade.

Tu ne crois pas ?

 

[…]

 

Je suis comme ce puzzle.

Mon cerveau n’est en pièces que quelques minutes sur toute l’année.

Pour une Schizophère comme Hae Jin, ça fait ça.

A cause d’un traumatisme ou d’une anomalie d’un neurotransmetteur,

de petites pièces s’effondrent dans son monde.

Et brouille sa réalité, en quelque sorte.

 

[…]

 

Pour replacer ses pièces, il faut se faire aider par un médecin et en ayant la volonté."

-Park Su Gwang-

"L’hallucination de Kang Woo que tu as.

Regarde-la attentivement.

De la tête aux pieds. Prends le temps de l’observer.

Retiens ta respiration et, observe-la.

Dans chaque hallucination se trouve une contradiction.

Si tu regardes bien, tu la trouveras."

-Hae Soo-